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ToxicomanieSocialBlog

1 juillet 2005

Illustrations des propos

Je tenais dans un premier temps à m'excuser sur les quelques erreurs présentes dans le message d'hier (orthographe,etc) qui reflètent le novice dans l'utilisation des outils du Blog que je suis.

Dans un second temps, je voulais illustrer mes propos d'hier pour prouver de mon sérieux en la matière; tout au moins croire que je ne dis pas que des âneries...

Rectification également le Dealer n'était pas Malien mais Guinéen, il me semble...

A lire donc :


France

Drame de la Goutte d’Or : enquête ouverte

Jeudi 10 mars 2005

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Alors que Balé Traoré était toujours hospitalisé hier dans un état jugé sérieux, le parquet de Paris a requis le placement sous contrôle judiciaire du policier soupçonné de l’avoir grièvement blessé par balle. Une information judiciaire pour « blessure involontaire » a été ouverte dans la journée. En garde à vue à l’IGS (la police des polices) depuis les faits survenus lundi soir dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris (18e), le brigadier, âgé d’une trentaine d’années, devait être présenté à une juge d’instruction hier soir en vue de son éventuelle mise en examen.

Pendant ce temps, la situation dans le quartier était toujours jugée « sensible » par les forces de l’ordre. Une manifestation pour dénoncer ce que les proches de la victime qualifient de « bavure policière » était prévue hier soir devant le commissariat de la rue de Goutte-d
">la Goutte-d’Or. A 21 h, aucun incident n’était toutefois à signaler.

Lundi soir, de violents affrontements avaient opposé des centaines de personnes du quartier aux policiers, qui, depuis, quadrillent le secteur. Quatorze personnes ont été interpellées à l’issue de ces heurts. Dix ont été présentées hier à la justice, les quatre autres ont été remises en liberté. La nuit de mardi à mercredi a été plus calme, même si un cocktail molotov a été jeté sur des policiers, blessant légèrement l’un d’entre eux.

Le drame est survenu alors que deux policiers enquêtaient sur une affaire de stupéfiants à la Goutte d’Or. Selon les éléments les plus récents de l’enquête de l’IGS, le brigadier, soupçonnant Balé Traoré d’être un dealer de crack, aurait voulu l’interpeller alors qu’il se trouvait dans une voiture, puis lui aurait tiré dessus après une tentative de rébellion. Cette version aurait été partiellement confirmée par la jeune femme qui se trouvait aux côtés de la victime au moment des faits. Par ailleurs, un peu moins d’une dizaine de galettes de crack, « en possession de la victime », ont été saisies par la police lors de l’arrestation.

La famille de Balé Traoré, de son côté, conteste que le jeune homme soit un dealer de crack. Mickaël Bosredon

  © 2004 - 20 Minutes France SAS - Tous droits réservés.

Suite


Grand Paris

Drame à la Goutte d’Or : vers la thèse de l’accident

Vendredi 11 mars 2005

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Le policier qui a grièvement blessé par balle un jeune du quartier de la Goutte d’Or (18e) lundi soir a été mis en examen mercredi soir pour « blessures involontaires » et placé sous contrôle judiciaire. La justice s’oriente donc pour l’instant vers la thèse de l’accident.

La victime, Balé Traoré, 19 ans, était toujours hospitalisée hier dans un état jugé sérieux. Ses jours ne seraient toutefois plus en danger.

Hier, la justice a rendu plusieurs décisions à l’encontre des jeunes interpellés après les incidents qui ont suivi le drame, lundi soir. Sur les quatorze personnes arrêtées, quatre avaient été remises en liberté dès mercredi. Deux autres ont été relâchées à leur tour hier.

Le tribunal correctionnel de Paris a prononcé une peine de cinq mois ferme à l’encontre d’un des huit autres jeunes, présenté en comparution immédiate pour jets d’engins incendiaires. Il a été placé sous mandat de dépôt.

Trois autres comparaîtront ultérieurement, et ont été laissés libres. Enfin quatre mineurs ont été mis en examen.

Du côté de l’enquête, l’inspection générale des services (IGS) semble se diriger vers la thèse du coup de feu accidentel. Alors que Balé Traoré se trouvait dans une voiture avec une jeune femme, peut-être en train de dealer du crack, le policier, un brigadier de 30 ans, a tenté de l’interpeller. Balé Traoré se serait débattu. C’est à ce moment qu’il aurait ouvert le feu.Une thèse que les proches de la victime n’admettent pas.

M. B.



  © 2004 - 20 Minutes France SAS - Tous droits réservés.

Quand Paris craque face au crack
Aux premiers états généraux consacrés au crack, débat sur l'accueil de ces toxicomanes condamnés à l'errance. Ils sont entre 3 000 et 6000 en Ile-de-France.

ET FIN...

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29 juin 2005

Présentation du Pourquoi

Je voulais non pas me mettre à la page mais profiter de cet espace pour aborder, voire même suborder les diverses pratiques en direction d'un public en grande précarité sociale (comme aiment à le dire nous financeurs...), les usagers de substances licites et illicites.

Pourquoi alors un blog ?

Je voulais utiliser cet espace pour mettre en avant mes pratiques dans le domaine de la Toxicomanie et mes constations sur le Travail Social ; Constat dramatique à mon avis, mais qui ne demande qu'à évoluer...

J'ai donc une certaine expérience dans le domaine (pratiquement 7 années déjà). Peu diront certains et beaucoup diront d'autres...

La Toxicomanie a toujours était un domaine houleux où les différentes écoles s'affrontent sur le sujet. Aujourd'hui, et merci à la délocalisation, nous voyons apparaitrent des entreprises du social (pléonasme...?) revendicant une éthique et une déontologie à toute épreuves. C'est là un des sujets qui me tient à coeur et je le développerais à fil de ce récit.

Aujourd'hui, depuis peu, je travaille dans notre Capitale. C'est tout à fait représentatif mais les difficultés dans le domaine sont démultipliées. Je ne tombe pas des nues, je suis parisien (nul n'est parfait...). Là où les outils et les moyens devraient être conséquents (au regard des problématiques), c'est l'effet inverse qui se produit. Comment concilier vocation si l'on peut dire et quotidien. Ilme semble que dans cette belle ville, cela ne soit impossible.

J'ai à l'esprit des nombreux exemples mais je tenais particulièrement à en citer un des plus représentatifs :

Pour les professionnels du secteur ou les tout venant, il est bon de se remémorer un fait divers marquant qui était relaté aux Infos Régionales et dans la Presse Quotidienne :

Une risk a eu lieu dans le 18ème arrondissement (Goutte d'or) suite à un echange de coup de feu entre un policier et un jeune Malien revendeur de drogue. Les habitants, suite à cet incident (les casseurs...) auraient été hors de contrôle et divers incidents ont eu lieu. Le jeune Malién grièvement bléssé serait décédé suite à ses blessures. Ligitime Défense pour l'Offcier de Police (Un Gardien de la Paix) supporté par les propos du Ministre de l'Intérieur de l'époque...

Bref, rien de très évoquant, si ce n'est bien sûr la MORT d'une personne (revendeur de Crack ou pas).

Les services de Polices ont donc investis le quartier afin de faire revenir le calme et les services spécialisés (Syndicats Synergie entra autre) chargés de l'affaire. Résultat : Affaire classée sans suite, l'accusé, ici le revendeur de Crack, un sans papier aurait voulu faire usage de son arme... Je vous laisse conclure...

Ironie du sort, cet incident à eu lieurla vieille de la visite du Comité des Jeux Olympes dans l'arrondissement du 18 ème. Branle bas de combat...

S'en est donc suivi un grand nettoyage par le vide, histoire de laisser champ libre, ou place net comme vous préférez à la visite officielle.

Je me demande donc si l'on peut faire l'hypothèse d'une politiuqe de contenace,tout au moins dans ce quartier, en direction du public cible, les Toxicomanes ????

Aujourd'hui la Goutte d'or et la principale association travaillant avec ce public se voit confier (Merci les Etats Généraux sur le Crack dans le 18ème !) la gestion du tout premier, je vous le donne dans le mil, Centre de Soins Spécialisés pour Toxicomanes du secteur.

Le coïncidensce est rop belle pour ne pas la remarquer ! Doit-on une fois n'est pas coutume, guérir avant de prévenir ???? Quelles sont les véritables objectifs des financeurs et décideurs publiques ???

Je me le demande réellement car si ma mémoire ne me fait pas défaut (et pourtant...), cette association a été baffouée par l'un de ses membres. Bref, passons sur le sujet, l'histoire est vraiment lourde de conséquences. C'est surtout ce qui m'intérroge : Les Tutuelles auraient-elles donc oublié...

Cet exemple quoique peu significatif, reflète assez bien à mon avis, les dysfonctionnements d'un système de soin qui malheureusement à fait ses preuves aujourd'hui...

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